C'est un petit garçon qui dit à
sa maman :
- Maman, je veux du chocolat !
- Mais prends-le, fiston, il est sur l'étagère.
- Maman je veux du chocolat !
- Mais prends-le, je t'ai dit !
- Mais maman, j'ai pas de bras...
- Ah ben, pas de bras, pas de chocolat.
Quelques jours apres la rentree des classes,
on procede a la traditionnelle photo de classe. La semaine
suivante, l'institutrice essaie evidemment de persuader les
enfants d'en acheter une chacun :
- "Pensez un peu a l'avenir. Vous serez bien content
dans quelques années, quand vous serez grands, de vous
dire en regardant la photo :"Tiens, la c'est Julie, elle
est medecin maintenant". Ou encore "la c'est Kevin,
il est ingenieur" et "la, c'est Amelie elle est
manucure".
A ce moment la, une petite voix se fait entendre du fond de
la classe :
- "Et la, c'est la maîtresse, Mme Dupon, elle est
morte."
Accablée parce que, depuis qu'elle
est rentrée de la clinique, son bébé
n'arrête pas de brailler, une jeune maman appelle sa
propre mère, sur le coup de 2 heures du matin.
- Je voulais te demander, lui dit-elle, à quel âge,
environ, ces affreux moutards laissent leurs parents dormir
la nuit ?
- Si j'en juge par ton cas, répond la mère,
en bâillant, certainement pas avant vingt-six ans !
Trois enfants viennent chez le pâtissier-boulanger
et lui demandent s'il a des tartes au concombre. Il dit qu'il
n'en a pas. Le lendemain, ils sont six enfants lui demander
la même chose, puis 12, 25. Quand il voit 50 enfants
lui demander des tartes au concombre, le boulanger dit qu'il
en aura le lendemain. Il passe toute la nuit à faire
des tartes au concombre et le lendemain, quand les enfants
viennent lui demander s'il a des tartes au concombre, il dit
:
- Oui, j'en ai!
Et les enfants lui disent :
- N'est-ce pas que c'est dégueulasse?
L'école, c'est comme le poil : a
15 ans, t'en as plein le cul.
Je suis trop fatiguer pour faire mes exercices
de calcul.
- C'est ridicule, le travail n'a jamais tuer personne.
- Pourquoi devrais-je risquer d'être le premier ?